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Ze Nours Attitude

L'islam n'aime pas les poètes libres

L'islam n'aime pas les poètes libres

Un grand poète de langue arabe condamné à mort en Arabie Saoudite pour avoir renoncé à l'islam.

L'islam est un culte barbare et diabolique !

Les musulmans ne supportent pas l'idée de la liberté individuelle de renoncer à la religion, ils vont jusqu'à condamner à mort un artiste poète pour avoir exercé cette liberté.

Nous-mêmes en France nous sommes complices de l'assassinat abjecte, qui certainement va avoir lieu si la communauté internationale ne réagit pas très vite, du poète Ashraf Fayadh, l'un des plus grand intellectuel d’Arabie Saoudite et du monde arabe, comme nous l'étions des sévices infligés à d'autres artistes et blogueurs arabes torturés et assassinés par la junte fasciste saoudienne, amie de notre ministre des affaires étrangère, Laurent Fabius.

Nous sommes complices car nous soutenons ce régime de roitelets syphilitiques et cruels d'Arabie, nous les protégeons en envoyant nos soldats défendre la Mecque et nous leur vendons des armes tout en sachant qu'ils s'en servent pour tuer la population civile yéménites et pour alimenter l'armée de terroristes de Daech. Ironie cynique de l'histoire, ces mêmes armes servent à perpétrer les attentas lâches et sanglants comme celui du vendredi 13 novembre 2015 à Paris.

En tant que membre du Conseil de Sécurité, la France devrait demander à faire traduire ces barbares dirigeants de l'islam sunnite, devant la cour de justice internationale pour les condamner et les mettre définitivement hors d'état de nuire. Sinon ce sont les politiques français qui devront répondre de cela devant l'Histoire et devant le peuple en colère.
( http://www.express.co.uk/news/world/621109/Saudi-Arabia-sentences-poet-to-death-for-renouncing-Islam )

Herbert French
le 22 novembre 2015
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D
Ces amis s'appellaient LIBYE, SYRIE, IRAN, IRAK; FRANCE,AMERIQUE, il ne se souvient plus de tous les noms de chacun, tellement la liste est longue; aujourd'hui il marche sur l'inconnu, seul, revêtu de l'unique vêtement que les traitres n'ont pu lui retirer; celui du souvenir. Ses yeux sont aussi bleus que la robe de la voute qu'il se complait à contempler sans jamais s'arrêter.<br /> <br /> <br /> <br /> Il marche sur une terre sur laquelle la nature s'en est allée, reviendra t'elle, peut être; dans combien de temps, qu'importe des mains plus accueillantes l'auront emportées.<br /> <br /> Sur cette
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E
Tout a fait d acord!
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